C’est ici une question qu’en réalité les hommes ne se posent en partant dans les pays de l’Est pour épouser une femme russe ou ukrainienne. Dans les faits, les hommes ont souvent la mauvaise habitude de partir la fleur au fusil. Certains passent par des sites de rencontres, le service est minimum, vous avez des contacts, les gens se parlent et parfois se rencontrent. Il y a aussi les agences matrimoniales lambda, ici ces dernières prennent votre argent. Vous partez en Ukraine ou en Russie, les rencontres sont parfois… factices, d’autres fois les hommes réussissent à commencer une relation amoureuse. Et puis, il y a le CQMI, qui tente d’expliquer aux hommes comment appréhender le choc culturel, car ce dernier est si grand, qu’il peut mener à l’échec, à la fin d’une relation, au début de problèmes sans fin. Alors, existe-t-il une différence culturelle slave, par rapport à vos pays, la France, la Suisse, la Belgique ou le Canada ? Et bien oui et elle est parfois énorme. Antoine Monnier fondateur de l’agence matrimoniale, dans un LIVE du 10 mars 2019, racontait plusieurs histoires qui montrent bien que le choc est important.
Le choc culturel entre une femme ukrainienne et un Homme français
Alors comment faire pour aborder une femme slave ? Antoine l’explique, il n’y a pas de secrets, mais il faut travailler sur soi-même pour commencer. Il faut également partir à la recherche des informations, regarder les nombreuses vidéos du CQMI, ou si vous aimer plus le format podcast, les nombreux podcasts de l’agence. Pour ceux qui préfèrent le « papier », l’écrit, les articles du CQMI sont aussi là pour éclairer votre lanterne et ils sont très fouillés comme vous le verrez. C’est en forgeant que l’on fait le forgeron ! Rien en effet ne vaudra les efforts que vous ferez, l’apprentissage de la culture et des mentalités d’un peuple, passant bien sûr par celui de la langue. Dans d’autres cas, vous aurez une notion de temps en face de vous, aussi vous pourriez penser à un coach. Nous avons au CQMI les coachings directs d’Antoine durant les voyages de groupe. Mais nous avons aussi ceux personnalisés d’Hervé (marié à une femme russe, 11 ans de vie commune, 10 ans en Russie, russophone). Dans d’autres cas vous aurez aussi intérêt à faire appel bien sûr aux assistantes CQMI, une exclusivité de l’agence qui est devenue obligatoire pour nos adhérents par ailleurs.
Mais vous pouvez aussi certainement commencer par la rencontre du monde slave près de chez vous… Il y a les associations ukrainiennes, russes, les concerts, les reconstitutions, les événements culturels slaves des divers pays. Ce monde de la diaspora russe ou ukrainienne est une mine d’informations, sans parler des belles rencontres, de l’apprentissage direct de la culture. Fréquenter le monde slave est bien sûr un atout, y être aller, même il y a des années, est aussi un avantage. Mais attention, ceux qui croient tout connaître de ce monde slave en y ayant passé trois semaines en vacances ou lors de voyages d’affaires, doivent se méfier. Il faut des années de pratique de la langue russe et ukrainienne, du monde russophone, des cultures des pays de l’Est pour appréhender ce monde. Et même après des années de résidence dans ces pays, ce n’est pas y être né, ce n’est pas être du sein maternel slave. Les raccourcis existent, le CQMI tente d’aider ses adhérents via ses nombreuses vidéos, et un homme averti et surtout préparé, en vaudra toujours deux ! Le conseil donc, ne pas se précipiter, même au CQMI, regardez, s’informer, observez…
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